Vous en avez marre de découvrir trop tard qu’une page de votre site renvoie une erreur 404 depuis trois jours ? Ou pire, qu’un plugin WordPress a modifié toutes vos balises title sans que vous vous en rendiez compte ? J’ai vécu ça plusieurs fois avant de tester PageRadar, et croyez-moi, ça fait mal.
PageRadar fait partie de ces outils qui ne servent à rien… jusqu’au jour où ils vous sauvent la mise. C’est un peu comme une assurance habitation : vous râlez de payer tous les mois, mais le jour où votre site tombe en panne un vendredi soir, vous êtes drôlement content d’avoir l’alerte qui arrive sur votre téléphone.
Code promo PageRadar valide
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C’est quoi exactement PageRadar ?
Contrairement à Semrush ou Ahrefs que vous lancez manuellement quand vous y pensez, PageRadar tourne en permanence. L’outil vérifie votre site toutes les heures pour certaines choses, tous les jours pour d’autres. Dès qu’il détecte un truc louche, vous recevez un email ou une notification Slack.
La plateforme surveille plusieurs aspects : vos Core Web Vitals (ces métriques de performance que Google adore), vos codes HTTP pour repérer les pages cassées, vos éléments SEO comme les titles et méta descriptions, et même vos liens d’affiliation si vous en avez. Cette dernière fonctionnalité teste vos liens depuis 167 pays différents, ce qui peut éviter de perdre des commissions sur des marchés où vos liens ne fonctionnent pas.
J’ai commencé à l’utiliser après qu’un client m’ait gentiment fait remarquer que sa page d’accueil affichait une belle erreur 500 depuis la veille. Moi qui me croyais réactif avec mes vérifications manuelles quotidiennes… Voilà comment j’ai compris qu’il me fallait un outil qui ne dort jamais.
Les vraies façons d’obtenir un code promo
Soyons honnêtes : les codes promo PageRadar ne pleuvent pas. Ce n’est pas Amazon où vous trouvez 50 coupons différents. Mais quelques options existent.
L’essai gratuit de 15 jours reste votre meilleur point de départ. Aucune carte bancaire demandée, vous testez tranquillement. Profitez-en pour configurer vos alertes, surveiller quelques pages importantes, et voir si l’outil vous convient vraiment.
Les codes partenaires existent chez certains influenceurs SEO. Par exemple, « FABIENSEO » donne 10% de réduction. Pas énorme, mais c’est toujours ça de pris. Ces codes marchent généralement sur tous les plans, mensuels comme annuels.
L’abonnement annuel représente la vraie bonne affaire. Vous économisez l’équivalent de deux mois par rapport au mensuel. Sur le plan Agency à 89 dollars par mois, ça fait quand même 180 dollars de différence sur l’année. Vous pouvez voir ça comme un code promo permanent de 17%.
Ma technique perso ? J’ai pris l’essai gratuit, testé sur deux sites clients pendant deux semaines, puis j’ai souscrit en annuel avec un code partenaire. Maximum d’économies pour minimum de risques.
Combien ça coûte vraiment ?
PageRadar propose quatre formules. Je vous épargne le blabla marketing et vous donne les vrais chiffres avec ce que ça permet de faire.
Starter à 29 dollars par mois (environ 27 euros). Vous surveillez 100 mots-clés, 100 pages pour la vitesse, 50 pages pour les erreurs HTTP. Honnêtement, c’est suffisant si vous avez un seul site pas trop gros. Par contre, les 6000 crédits pour les liens affiliés partent vite si vous en avez beaucoup.
Agency à 89 dollars mensuels (83 euros environ). C’est le plan que j’utilise. Vous multipliez presque tout par trois : 750 mots-clés, 300 pages surveillées, 20000 crédits affiliés. Parfait quand vous gérez 5 à 10 sites. La différence de prix avec le Starter se justifie rapidement dès que vous ajoutez un deuxième site à surveiller.
Enterprise à 199 dollars par mois (185 euros). Pour les gros projets : 1500 mots-clés, 1000 pages, 50000 crédits affiliés, sitemaps illimités. Un site e-commerce qui fait 50000 euros de CA mensuel peut largement se le permettre. Une seule panne évitée rembourse plusieurs mois d’abonnement.
Scale à 399 dollars mensuels (370 euros). Franchement, à ce niveau, vous êtes soit une grosse agence, soit vous gérez un empire de sites affiliés. 4000 mots-clés et 100000 crédits, ça fait de la marge.
Tous ces prix baissent d’environ 17% si vous prenez l’annuel. Le Starter tombe à 24 dollars par mois, l’Agency autour de 74 dollars. Sur un an, l’économie devient vraiment visible.
Ce qui rend PageRadar intéressant
Les Core Web Vitals d’abord. Google nous bassine avec ça depuis 2021, donc autant les surveiller correctement. Le LCP mesure le temps de chargement du contenu principal, l’INP la réactivité aux clics, le CLS la stabilité visuelle de la page. PageRadar vous alerte dès qu’un de ces scores dépasse les seuils Google. Pratique quand votre développeur installe une nouvelle feature qui ralentit tout.
Le monitoring des codes HTTP ensuite. Vérification toutes les heures, pas tous les trois jours comme certains concurrents. Une page qui tombe à 17h un vendredi, vous le savez à 18h, pas le lundi matin. J’ai évité quelques week-ends pourris grâce à ça.
La surveillance SEO aussi. Imaginez qu’un stagiaire modifie votre robots.txt et bloque Google par accident. Ou qu’une mise à jour WordPress change toutes vos balises canonical. Sans monitoring, vous ne le voyez qu’au bout de plusieurs semaines quand votre trafic s’effondre. Avec PageRadar, l’alerte tombe dans l’heure.
Les liens d’affiliation enfin, si vous en avez. L’outil les teste depuis plein de pays différents. J’ai découvert que certains de mes liens Amazon marchaient en France mais plantaient en Belgique et en Suisse. Résultat : je perdais des commissions sans le savoir. Maintenant je teste systématiquement dans 4-5 pays clés.
PageRadar versus les autres outils
ContentKing fait à peu près la même chose, mais démarre à 199 dollars par mois. Sept fois plus cher que le Starter de PageRadar. Leur interface est peut-être un chouïa plus jolie, mais bon, pour ce prix-là, je préfère économiser.
SEO Radar se focalise sur les gros sites avec beaucoup de pages. Si vous avez 50000 URLs à surveiller, regardez de leur côté. Pour des sites plus classiques, PageRadar suffit largement et coûte moins cher.
Little Warden propose des tarifs mini à 10 dollars par mois. Le problème ? Fonctionnalités vraiment basiques. Pas de Core Web Vitals, pas de surveillance des liens affiliés. Vous économisez 20 dollars par mois mais vous ratez la moitié des problèmes potentiels.
Semrush et Ahrefs ? Très bons pour la stratégie SEO, la recherche de mots-clés, l’analyse de backlinks. Mais leur monitoring se limite à des audits que vous lancez manuellement. Rien d’automatique, rien en temps réel. Et leurs prix démarrent à 99-129 dollars minimum. PageRadar ne remplace pas ces outils, il les complète.
Pour qui ça vaut vraiment le coup ?
Les consultants SEO et agences en premier lieu. Quand vous gérez 8 sites clients, impossible de tous les vérifier manuellement tous les jours. PageRadar fait le boulot pendant que vous dormez. Le client est content parce que vous détectez les problèmes avant lui. Vous gardez votre crédibilité.
Les sites e-commerce ensuite. Une boutique en ligne qui fait 5000 euros par jour ne peut pas se permettre trois heures d’indisponibilité. À ce niveau, PageRadar n’est même pas une dépense, c’est un investissement obligatoire. Un seul incident évité et l’abonnement annuel est remboursé.
Les marketeurs d’affiliation aussi. Vos revenus dépendent entièrement du bon fonctionnement de vos liens. Un lien cassé pendant une semaine sur un article qui fait 500 clics, ça représente potentiellement des centaines d’euros perdus. La surveillance géolocalisée de PageRadar vaut son pesant d’or dans ce cas.
Les blogueurs pros qui vivent de leur trafic ont intérêt à surveiller leurs positions et leurs métriques. Un blog qui perd 50% de son trafic suite à un problème technique met parfois des mois à récupérer. Mieux vaut prévenir que guérir.
Par contre, si vous tenez un blog perso de recettes de cuisine avec 200 visiteurs par mois, franchement, économisez vos 29 dollars. Google Search Console gratuit fera l’affaire. PageRadar s’adresse vraiment aux professionnels qui ont un enjeu business derrière.
Nos astuces pour rentabiliser l’abonnement
Ne surveillez pas tout votre site dès le début. Concentrez-vous sur 10-15 pages maximum : votre page d’accueil, vos pages qui convertissent le mieux, vos 3-4 articles qui ramènent le plus de trafic. Ça suffit pour commencer. Vous ajouterez le reste progressivement.
Affinez vos seuils d’alerte au fur et à mesure. Au début, nous avons configuré des alertes trop sensibles. Nous recevons 5 notifications par jour pour des micro-variations normales. En deux semaines, nous avons trouvé le bon équilibre : assez strict pour ne rien rater, assez souple pour ne pas être spammé.
Utilisez l’historique pour vos rapports clients. Rien de tel qu’un joli graphique qui montre l’amélioration des Core Web Vitals avant/après votre intervention. Ça justifie vos honoraires et ça fait plaisir au client. PageRadar garde tout l’historique, profitez-en.
Branchez les notifications sur Slack si vous l’utilisez. Les emails, on finit par ne plus les voir. Sur Slack, ça pète direct dans votre canal dédié. Impossible de louper une alerte critique.
Formez votre équipe pendant l’essai gratuit. Les 15 jours servent justement à ça. Organisez une petite session d’une heure où vous paramétrez l’outil ensemble et définissez qui fait quoi quand une alerte arrive. Ça évite la panique le jour où un vrai problème surgit.
Les alternatives gratuites (et pourquoi elles ne suffisent pas)
Google Search Console reste évidemment incontournable. Gratuit, officiel, directement dans l’écosystème Google. Il remonte les erreurs d’indexation, certains problèmes de Core Web Vitals, les pages cassées. Le souci ? Tout arrive avec 2-3 jours de retard minimum. Vous découvrez le problème quand il a déjà fait des dégâts.
PageSpeed Insights mesure bien les performances d’une page. Mais vous devez lancer le test manuellement. Vous ne vérifiez donc que quand vous y pensez, c’est-à-dire jamais assez souvent. Impossible de savoir si votre LCP s’est dégradé hier suite à la dernière mise à jour.
UptimeRobot surveille la disponibilité de base. Il ping votre site et vous dit s’il répond ou non. C’est déjà ça. Mais il ne regarde rien d’autre : ni les perfs, ni le SEO, ni les codes d’erreur spécifiques. Vous savez que le site est down, mais pas pourquoi ni depuis quand exactement.
Le problème des outils gratuits ? Vous devez en utiliser 4-5 différents pour avoir une vue complète. Vous passez votre temps à naviguer entre les interfaces, compiler les infos, vérifier manuellement. PageRadar centralise tout ça et automatise la surveillance. C’est justement pour ça qu’on paye.
Questions que tout le monde se pose
On peut cumuler l’essai gratuit et un code promo ? Oui, aucun souci. Testez pendant 15 jours, et si vous souscrivez après, balancez votre code promo au moment de payer. Les deux marchent ensemble.
Les codes promo fonctionnent sur les abonnements annuels ? Généralement oui. La plupart des codes s’appliquent sur toutes les formules, mensuelles ou annuelles. Sachant que l’annuel baisse déjà le prix de 17%, vous cumulez les réductions. Malin.
Combien de temps les codes restent valables ? Ça dépend. Certains partenaires ont des codes permanents, d’autres font des promos ponctuelles. Les codes permanents genre « FABIENSEO10 » fonctionnent généralement toute l’année. Les promos spéciales (Black Friday, etc.) durent quelques jours.
Je peux changer de plan en cours de route ? Totalement. Vous commencez en Starter, ça ne suffit plus, vous passez en Agency. PageRadar recalcule au prorata. Pratique quand votre activité grandit et que vous devez surveiller plus de pages.
Ils remboursent si je ne suis pas satisfait ? Pas de remboursement officiel à ma connaissance, d’où l’intérêt de bien profiter de l’essai gratuit avant de sortir la carte bleue.
Notre avis après six mois d’utilisation
Nous avons testé PageRadar sur quatre sites différents pendant six mois. Verdict ? L’outil a rentabilisé son abonnement dès le deuxième mois.
L’anecdote qui nous a convaincus : un développeur client modifie le fichier robots.txt un mardi matin pour bloquer temporairement une section du site en préproduction. Sauf qu’il se trompe et bloque tout le site en production. Sans PageRadar, nous nous en serions rendu compte au bout de deux ou trois jours, quand le trafic aurait commencé à chuter. Grâce à l’outil, nous avons reçu une alerte 40 minutes après la modification. Le problème a été corrigé en cinq minutes. Google n’a même pas eu le temps de recrawler le site avec le robots.txt erroné.
Le plan Agency nous coûte environ 900 euros par an. Nous y surveillons six sites clients, soit 150 euros par site et par an l’équivalent de 12,50 euros par mois et par site. Une dépense franchement dérisoire comparée au coût potentiel d’un incident non détecté.
Ce qui nous a agacés ? La courbe d’apprentissage. Les deux premières semaines, nous avons reçu beaucoup trop d’alertes. Il faut un certain temps pour comprendre quels seuils configurer, quelles pages méritent une surveillance horaire et lesquelles peuvent se contenter d’une vérification quotidienne. Aujourd’hui, tout est fluide, mais au début, nous avons failli abandonner.
Autre petit reproche : l’interface pourrait être plus agréable. Mais au fond, peu importe : l’efficacité prime, et de ce côté-là, rien à redire.
PageRadar s’adresse clairement aux professionnels du web qui ne peuvent pas se permettre de découvrir les problèmes trop tard : consultants, agences, sites e-commerce, acteurs de l’affiliation. Pour ces profils, l’investissement se justifie largement. Pour un blog amateur, l’outil est probablement surdimensionné. À chacun de voir si son activité en ligne mérite cette assurance tous risques.

